Vivencias en tierras de los MayMay, Rep.D.del Congo
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elder escribió:Gaucho Oriental, son realmente interesantes tus "reportajes", pero no desesperes si no hay réplicas. Los demás poco podemos aportar.
Gracias por el apoyo, espero volver con nuevos relatos de lo que ha sucedido o lo que esta sucediendo, en estas áreas. Hasta Pronto.
Saludos Cordiales de
Gaucho Oriental desde el PC.
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Un poco de las noticias que deben de leerse en la prensa interna del Congo, ya que es muy dificil que se publique fuera de esta a no ser por las nacionalidades involucradas en el conflicto o en las operaciones...
Ituri: 1 casque bleu népalais tué et 3 autres blessés dans une attaque contre les miliciens du FNI
Tel est le bilan provisoire d’une opération conjointe FARDC-Monuc lancée dimanche contre les positions des milices du FNI (Front des Nationalistes Intégrationnistes) dans le territoire de Mahagi, district de l’Ituri, en Province Orientale. Dans l’entre-temps, le sort de 7 autres soldats du même contingent qui avaient également pris part à cette offensive n’était pas connu, a appris radiookapi.net
La mort de ce casque bleu intervient alors que la communauté mondiale commémore ce 29 mai la Journée internationale des casques bleus des Nations Unies. Comme l’a souligné Kemal Saiki, le directeur de l’information publique à la Monuc, cette journée a été décrétée par l’Assemblée générale de l’ONU en 2002 pour rendre hommage aux hommes et femmes qui se sont sacrifiés et continuent à se sacrifier pour le maintien de la paix.
Ituri: 1 casque bleu népalais tué et 3 autres blessés dans une attaque contre les miliciens du FNI
Tel est le bilan provisoire d’une opération conjointe FARDC-Monuc lancée dimanche contre les positions des milices du FNI (Front des Nationalistes Intégrationnistes) dans le territoire de Mahagi, district de l’Ituri, en Province Orientale. Dans l’entre-temps, le sort de 7 autres soldats du même contingent qui avaient également pris part à cette offensive n’était pas connu, a appris radiookapi.net
La mort de ce casque bleu intervient alors que la communauté mondiale commémore ce 29 mai la Journée internationale des casques bleus des Nations Unies. Comme l’a souligné Kemal Saiki, le directeur de l’information publique à la Monuc, cette journée a été décrétée par l’Assemblée générale de l’ONU en 2002 pour rendre hommage aux hommes et femmes qui se sont sacrifiés et continuent à se sacrifier pour le maintien de la paix.
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Santé publique: les médecins de Kinshasa radicalisent leur grève
Le mouvement de grève observé depuis quelques jours à Kinshasa par les médecins oeuvrant dans les hôpitaux et centres médicaux publics s’est radicalisé à partir de ce lundi 29 mai. Ce jour, seules deux formations médicales publiques ont été ouvertes sur l’ensemble de la ville, mais seulement pour des urgences, a constaté radiookapi.net
Les hôpitaux ouverts aux urgences ce matin étaient l’Hôpital général de référence de N’djili, situé dans la périphérie est de Kinshasa et le Centre mère et enfant de Barumbu, situé au nord-est. La décision a été prise le week-end dernier par le Syndicat national des médecins (SYNAMED). Dans un communiqué à la presse, ce syndicat justifie la radicalisation de la grève par la non prise en compte par le gouvernement des revendications de ses membres.
A l’hôpital de N’djili, Radio Okapi a constaté ce matin une affluence inhabituelle dans les salles d’urgence. Selon le personnel sanitaire trouvé sur le lieu, il y avait risque qu’avant la fin de la journée, ces salles ne soient plus en mesure d’accueillir d’autres cas d’urgence.
Dans le même temps en revanche, au cœur de la ville, l’Hôpital général de référence de Kinshasa (ex-Mama Yemo), le plus grand centre hospitalier de la capitale, était quasi désert. La salle d’urgence de cet hôpital et les lits de malades étaient vides. Quelques rares médecins et infirmiers rencontrés dans les couloirs ont dit observer un service minimum pour les malades déjà internés.
Selon le secrétaire exécutif provincial du SYNAMED, le docteur Mankoy Badjoki, des instructions formelles ont été données à tous les médecins oeuvrant dans les hôpitaux publics pour une stricte observance de la polarisation du service minimum pour les urgences. Le mardi 30 mai, ce sera le tour de la Clinique Ngalima et du Centre hospitalier d’Etat de Matete de prendre le relais après N’djili et Barumbu, a-t-il fait savoir.
un poco de la deficiencia que en un momento se pudo ver que en estos momentos esta reflotando a plena salida de los conflictos que muchas veces son ajenos a la Capital.......
Le mouvement de grève observé depuis quelques jours à Kinshasa par les médecins oeuvrant dans les hôpitaux et centres médicaux publics s’est radicalisé à partir de ce lundi 29 mai. Ce jour, seules deux formations médicales publiques ont été ouvertes sur l’ensemble de la ville, mais seulement pour des urgences, a constaté radiookapi.net
Les hôpitaux ouverts aux urgences ce matin étaient l’Hôpital général de référence de N’djili, situé dans la périphérie est de Kinshasa et le Centre mère et enfant de Barumbu, situé au nord-est. La décision a été prise le week-end dernier par le Syndicat national des médecins (SYNAMED). Dans un communiqué à la presse, ce syndicat justifie la radicalisation de la grève par la non prise en compte par le gouvernement des revendications de ses membres.
A l’hôpital de N’djili, Radio Okapi a constaté ce matin une affluence inhabituelle dans les salles d’urgence. Selon le personnel sanitaire trouvé sur le lieu, il y avait risque qu’avant la fin de la journée, ces salles ne soient plus en mesure d’accueillir d’autres cas d’urgence.
Dans le même temps en revanche, au cœur de la ville, l’Hôpital général de référence de Kinshasa (ex-Mama Yemo), le plus grand centre hospitalier de la capitale, était quasi désert. La salle d’urgence de cet hôpital et les lits de malades étaient vides. Quelques rares médecins et infirmiers rencontrés dans les couloirs ont dit observer un service minimum pour les malades déjà internés.
Selon le secrétaire exécutif provincial du SYNAMED, le docteur Mankoy Badjoki, des instructions formelles ont été données à tous les médecins oeuvrant dans les hôpitaux publics pour une stricte observance de la polarisation du service minimum pour les urgences. Le mardi 30 mai, ce sera le tour de la Clinique Ngalima et du Centre hospitalier d’Etat de Matete de prendre le relais après N’djili et Barumbu, a-t-il fait savoir.
un poco de la deficiencia que en un momento se pudo ver que en estos momentos esta reflotando a plena salida de los conflictos que muchas veces son ajenos a la Capital.......
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http://i44.photobucket.com/albums/f16/Gauchomilitar/RDC/Asadodominguero.jpg
ASADO DOMINGUERO COMO NO PODÍAMOS DEJAR PASAR LA OCASIÓN,
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