Vivencias en tierras de los MayMay, Rep.D.del Congo
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Onatra: la grève s’étend au port de Matadi
Le port de Matadi, dans le Bas-Congo, n’a pas fonctionné ce mardi. Les agents de l’Office national des transports y observent depuis lundi un arrêt de travail. Ils réclament le paiement de leur bonus et l’installation du nouveau comité de gestion mis en place la semaine dernière par le ministre des Transports et Communications, a constaté radiookapi.net
Tout était calme au port international de Matadi cet avant-midi. Bureaux fermés, aucun signe de vie. Les six bateaux qui se trouvaient au quai n’ont pu décharger leur cargaison. La majorité des travailleurs de l’Office national des transports se sont concentrés à la «place Rouge». Réquisitionnés par l’Intersyndical, ils apprenaient des chansons qu’ils entonnaient ensuite en chœur.
Avant toute reprise de travail, ils exigent la régularisation de leur prime ainsi que le départ de l‘ancien comité de gestion. Des éléments de la police ont été déployés au port pour sécuriser ses installations et éviter tout débordement.
Le port de Matadi, dans le Bas-Congo, n’a pas fonctionné ce mardi. Les agents de l’Office national des transports y observent depuis lundi un arrêt de travail. Ils réclament le paiement de leur bonus et l’installation du nouveau comité de gestion mis en place la semaine dernière par le ministre des Transports et Communications, a constaté radiookapi.net
Tout était calme au port international de Matadi cet avant-midi. Bureaux fermés, aucun signe de vie. Les six bateaux qui se trouvaient au quai n’ont pu décharger leur cargaison. La majorité des travailleurs de l’Office national des transports se sont concentrés à la «place Rouge». Réquisitionnés par l’Intersyndical, ils apprenaient des chansons qu’ils entonnaient ensuite en chœur.
Avant toute reprise de travail, ils exigent la régularisation de leur prime ainsi que le départ de l‘ancien comité de gestion. Des éléments de la police ont été déployés au port pour sécuriser ses installations et éviter tout débordement.
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La Belgique réitère son soutien au processus électoral en RDC
La Belgique continuera à appuyer le processus électoral en cours en RDC. C’est l’essentiel du message livré par deux ministres belges au cours d’un point de presse ce lundi 5 juin à Kinshasa. Les deux hommes d’Etat belges séjournent en RDC depuis vendredi dernier, rappelle radiookapi.net
Didier Rynders, ministre belge des Finances a dit avoir trouvé dans le chef d’une dizaine de candidats à l’élection présidentielle la détermination d’aller jusqu’au bout. Aussi souhaite-t-il voir s’établir des contacts entre différents candidats et entre des formations politiques. Ceci, dit-il, dans le but de créer un climat de confiance et de le faire passer aux électeurs.
L’objectif est que les élections aient lieu le 30 juillet, a poursuivi M. Rynders. «Nous avons mis énormément de moyens en œuvre, pas seulement la Belgique mais aussi la communauté internationale. On ne va pas le faire chaque année. Concrètement, il faut que le processus aboutisse. S’il y a deux choses à faire c’est d’abord établir ce climat de confiance et ensuite déterminer clairement les échéances après le 30 juillet. Il faut que chacun sache où l’on va dans le calendrier avant d’entamer les élections», a-t-il souligné.
Pour l’homme d’Etat belge, au lendemain des élections, tout commencera avec la nécessité de mener des réformes importantes.
La Belgique continuera à appuyer le processus électoral en cours en RDC. C’est l’essentiel du message livré par deux ministres belges au cours d’un point de presse ce lundi 5 juin à Kinshasa. Les deux hommes d’Etat belges séjournent en RDC depuis vendredi dernier, rappelle radiookapi.net
Didier Rynders, ministre belge des Finances a dit avoir trouvé dans le chef d’une dizaine de candidats à l’élection présidentielle la détermination d’aller jusqu’au bout. Aussi souhaite-t-il voir s’établir des contacts entre différents candidats et entre des formations politiques. Ceci, dit-il, dans le but de créer un climat de confiance et de le faire passer aux électeurs.
L’objectif est que les élections aient lieu le 30 juillet, a poursuivi M. Rynders. «Nous avons mis énormément de moyens en œuvre, pas seulement la Belgique mais aussi la communauté internationale. On ne va pas le faire chaque année. Concrètement, il faut que le processus aboutisse. S’il y a deux choses à faire c’est d’abord établir ce climat de confiance et ensuite déterminer clairement les échéances après le 30 juillet. Il faut que chacun sache où l’on va dans le calendrier avant d’entamer les élections», a-t-il souligné.
Pour l’homme d’Etat belge, au lendemain des élections, tout commencera avec la nécessité de mener des réformes importantes.
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La verdad que uno se forma las características del lugar por las imágenes que no dejan de acompañarnos durante toda la vida, gracias a Dios. Personalmente me ha pasado que tuve la buena fortuna de contar tanto con una cámara fotográfica como con una filmadora que hoy disfruto y doy gracias el haber tenido el buen tino de haberlo llevado.
Hoy mientras identifico los lugares por los que pasé me embargan los buenos conocimientos, los buenos amigos, los buenos enemigos, las anécdotas de cada foto cada imagen y hasta porque las saque o las filmé… hoy las recuerdo con ese sabor agridulce que embarga hasta emborrachar el alma, pero que han conformado un tesoro que seguro como cada uno de los que leen este foro han de tener.
Cuentos se habrán embriagado de estas figuras y estas fotos que he publicado, cuantos transitaron por estas calles en Kalemie, cuantos miraron el Tanganika desde este alto…mi recuerdo esta presente, y para aquellos que supieron de mi allá por el 2002 este es mi reconocimiento.
Época de LLUVIAS (verde y sepia de los desbarrancados de Kalemie)
Hoy mientras identifico los lugares por los que pasé me embargan los buenos conocimientos, los buenos amigos, los buenos enemigos, las anécdotas de cada foto cada imagen y hasta porque las saque o las filmé… hoy las recuerdo con ese sabor agridulce que embarga hasta emborrachar el alma, pero que han conformado un tesoro que seguro como cada uno de los que leen este foro han de tener.
Cuentos se habrán embriagado de estas figuras y estas fotos que he publicado, cuantos transitaron por estas calles en Kalemie, cuantos miraron el Tanganika desde este alto…mi recuerdo esta presente, y para aquellos que supieron de mi allá por el 2002 este es mi reconocimiento.
Época de LLUVIAS (verde y sepia de los desbarrancados de Kalemie)
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Ituri: le population autochtone refuse de quitter Epulu
Les habitants de Mambasa s’opposent à la mesure prise en février dernier par le comité provincial de sécurité les sommant de quitter la réserve d’Epulu. Ce comité voulait ainsi mettre fin au braconnage et à l’exploitation illégale d’or. Mais les autochtones estiment qu’Epulu (le seul refuge naturel des okapis au monde) demeure un patrimoine de leurs ancêtres qu’ils ne peuvent pas abandonner, rapporte radiookapi.net
Un habitant de Mambasa témoigne : «Une personne comme moi qui est née et a grandi ici sans connaître l’existence d’une réserve. J’ai mes champs et mes enfants ici. On me demande de partir. Pour aller où? S’il y a un endroit préparé pour m’accueillir, je pourrais y aller. Qu’on me chasse comme un sauvage, où irais-je avec ma famille? »
Par contre, l’administrateur de territoire de Mambasa persiste et signe. La réserve des faunes d’Epulu est un patrimoine mondial qu’il faut protéger. Abdallah Kiebe affirme avoir reçu des instructions formelles de la part du gouverneur de province pour déguerpir les habitants des environs et les braconniers du parc. C’est ainsi qu’il a pris l’initiative de créer une commission de sensibilisation, notamment le comité de sécurité du territoire de Mambasa. Ce dernier a eu pour mission de sensibiliser les gens sur le terrain. Enfin, il s’en est suivi la phase de délogement, poursuit-il.
Selon Pierre Hubert Moliso, vice-gouverneur de la Province Orientale, aucune disposition particulière n’est prise pour le transfert de ces habitants. L’autorité provinciale estime que ces derniers ont violé l’espace protégé par l’Unesco.
Les habitants de Mambasa s’opposent à la mesure prise en février dernier par le comité provincial de sécurité les sommant de quitter la réserve d’Epulu. Ce comité voulait ainsi mettre fin au braconnage et à l’exploitation illégale d’or. Mais les autochtones estiment qu’Epulu (le seul refuge naturel des okapis au monde) demeure un patrimoine de leurs ancêtres qu’ils ne peuvent pas abandonner, rapporte radiookapi.net
Un habitant de Mambasa témoigne : «Une personne comme moi qui est née et a grandi ici sans connaître l’existence d’une réserve. J’ai mes champs et mes enfants ici. On me demande de partir. Pour aller où? S’il y a un endroit préparé pour m’accueillir, je pourrais y aller. Qu’on me chasse comme un sauvage, où irais-je avec ma famille? »
Par contre, l’administrateur de territoire de Mambasa persiste et signe. La réserve des faunes d’Epulu est un patrimoine mondial qu’il faut protéger. Abdallah Kiebe affirme avoir reçu des instructions formelles de la part du gouverneur de province pour déguerpir les habitants des environs et les braconniers du parc. C’est ainsi qu’il a pris l’initiative de créer une commission de sensibilisation, notamment le comité de sécurité du territoire de Mambasa. Ce dernier a eu pour mission de sensibiliser les gens sur le terrain. Enfin, il s’en est suivi la phase de délogement, poursuit-il.
Selon Pierre Hubert Moliso, vice-gouverneur de la Province Orientale, aucune disposition particulière n’est prise pour le transfert de ces habitants. L’autorité provinciale estime que ces derniers ont violé l’espace protégé par l’Unesco.
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Grève à l’Onatra : la Fec/Bas-Congo se dit victime
L’arrêt de travail décrété dans cette entreprise a atteint son 10e jour ce mardi. La Fédération des entreprises du Congo, Fec/Bas-Congo déplore cette situation qui paralyse les activités du port de Matadi, relève radiookapi.net
Dieudonné Kasembo, président de la Fec/Bas-Congo, joint au téléphone, fait savoir que les opérateurs économiques éprouvent beaucoup de difficultés pour retirer les marchandises qu’ils ont importées. Pour les uns, ces marchandises sont destinées à leurs industries, pour d’autres, elles sont pour leur commerce. «Vous comprenez que dans ces conditions, beaucoup d’industries se trouvent en rupture de stock. Nous ne pouvons même pas payer les droits de douanes pour les marchandises que nous devons sortir du port»
Se basant sur la loi de l’offre et de la demande, M. Kasembo craint que la rupture de stock ainsi créée ait des répercutions sur les prix sur le marché. C’est pourquoi il demande au gouvernement qui s’est saisi du dossier de réagir rapidement. En attendant, Dieudonné Kasembo propose la mise en place d’une équipe restreinte qui peut statuer sur certains dossiers.
L’arrêt de travail décrété dans cette entreprise a atteint son 10e jour ce mardi. La Fédération des entreprises du Congo, Fec/Bas-Congo déplore cette situation qui paralyse les activités du port de Matadi, relève radiookapi.net
Dieudonné Kasembo, président de la Fec/Bas-Congo, joint au téléphone, fait savoir que les opérateurs économiques éprouvent beaucoup de difficultés pour retirer les marchandises qu’ils ont importées. Pour les uns, ces marchandises sont destinées à leurs industries, pour d’autres, elles sont pour leur commerce. «Vous comprenez que dans ces conditions, beaucoup d’industries se trouvent en rupture de stock. Nous ne pouvons même pas payer les droits de douanes pour les marchandises que nous devons sortir du port»
Se basant sur la loi de l’offre et de la demande, M. Kasembo craint que la rupture de stock ainsi créée ait des répercutions sur les prix sur le marché. C’est pourquoi il demande au gouvernement qui s’est saisi du dossier de réagir rapidement. En attendant, Dieudonné Kasembo propose la mise en place d’une équipe restreinte qui peut statuer sur certains dossiers.
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La Unión Europea dio hoy su acuerdo político para el envío de una misión militar a la República Democrática del Congo (RDC), bajo el comando de Alemania.
La tarea de la misión será ayudar a la ONU a garantizar la seguridad en las próximas elecciones, que tendrán lugar el 18 de junio. Alemania anunció hoy que asumirá el mando y pondrá 500, de los 1500 efectivos previstos, y un general, que dirigirá la misión desde Potsdam, cerca de Berlín.
Junto con Alemania asumirá también Francia el mayor peso de la operación, que contará también con fuerzas de España, Polonia, Portugal, Suecia y Bélgica.
Durante una conferencia celebrada hoy en Berlín también se comprometieron a participar Italia, Grecia, Austria, Irlanda y el Reino Unido.
Solana en Kinshasa
El acuerdo fue dado a conocer por los ministros de Relaciones Exteriores de la UE en una reunión que celebraron hoy en Bruselas, en la que el Alto Representante de la UE para la Política Exterior y de Seguridad Común, Javier Solana, informó de la visita que realizó el domingo a Kinshasa.
Solana, a quien los ministros de Defensa de la Unión pidieron el mes pasado que viajara a la RDC, declaró en una rueda de prensa que "hay una clara posición sobre el Congo y la misión se hará".
El representante europeo se entrevistó en Kinshasa con las autoridades congoleñas y señaló que el presidente Josef Kabila le había expresado su pleno apoyo para el despliegue de la fuerza europea.
Steinmeier: "no poner en peligro el Congo"
Frank-Walter Steinmeier, ministro de Relaciones Exteriores de Alemania, dijo: "no debemos olvidar de qué se trata en la misión: luego de años de guerra civil y dos guerras con serias consecuencias humanitarias, los congoleños tienen la posibilidad de concluir un proceso de transición, en esencia exitoso, con las primeras elecciones libres desde hace 45 años".
"Esa estabilización fue lograda con grandes esfuerzos, justamente también de la Unión Europea", agregó Steinmeier, concluyendo que "las Naciones Unidas dicen con razón que no debe ponerse en peligro ese proceso. La presencia militar de tropas europeas inmediatamente antes o después de las elecciones en Kinshasa, la capital, puede ser un apoyo decisivo."
La misión, que estará compuesta por un millar de efectivos –unos centenares en Kinshasa y la mayoría en el exterior listos para su despliegue en caso de necesidad– se llevará a cabo a petición de la ONU, que pidió apoyo para su misión de observación (MONUC) en la RDC.
Casi cuatro millones de víctimas
La República Democrática del Congo sufrió una cruenta guerra civil entre 1998 y 2003, que se cobró casi cuatro millones de vidas y la MONUC, que cuenta con 17.000 efectivos en el país, teme un rebrote de violencia durante los comicios.
Solana explicó hoy que la UE ha apoyado a la RDC en todo el proceso de transición que comenzó en 2003 y quiere que las primeras elecciones democráticas en ese país desde que obtuvo su independencia de Bélgica en 1960 "sean un éxito".
La misión, cuyo cometido es reforzar a las Naciones Unidas durante el proceso electoral, deberá todavía ser aprobada por el Bundestag (Parlamento alemán).
La tarea de la misión será ayudar a la ONU a garantizar la seguridad en las próximas elecciones, que tendrán lugar el 18 de junio. Alemania anunció hoy que asumirá el mando y pondrá 500, de los 1500 efectivos previstos, y un general, que dirigirá la misión desde Potsdam, cerca de Berlín.
Junto con Alemania asumirá también Francia el mayor peso de la operación, que contará también con fuerzas de España, Polonia, Portugal, Suecia y Bélgica.
Durante una conferencia celebrada hoy en Berlín también se comprometieron a participar Italia, Grecia, Austria, Irlanda y el Reino Unido.
Solana en Kinshasa
El acuerdo fue dado a conocer por los ministros de Relaciones Exteriores de la UE en una reunión que celebraron hoy en Bruselas, en la que el Alto Representante de la UE para la Política Exterior y de Seguridad Común, Javier Solana, informó de la visita que realizó el domingo a Kinshasa.
Solana, a quien los ministros de Defensa de la Unión pidieron el mes pasado que viajara a la RDC, declaró en una rueda de prensa que "hay una clara posición sobre el Congo y la misión se hará".
El representante europeo se entrevistó en Kinshasa con las autoridades congoleñas y señaló que el presidente Josef Kabila le había expresado su pleno apoyo para el despliegue de la fuerza europea.
Steinmeier: "no poner en peligro el Congo"
Frank-Walter Steinmeier, ministro de Relaciones Exteriores de Alemania, dijo: "no debemos olvidar de qué se trata en la misión: luego de años de guerra civil y dos guerras con serias consecuencias humanitarias, los congoleños tienen la posibilidad de concluir un proceso de transición, en esencia exitoso, con las primeras elecciones libres desde hace 45 años".
"Esa estabilización fue lograda con grandes esfuerzos, justamente también de la Unión Europea", agregó Steinmeier, concluyendo que "las Naciones Unidas dicen con razón que no debe ponerse en peligro ese proceso. La presencia militar de tropas europeas inmediatamente antes o después de las elecciones en Kinshasa, la capital, puede ser un apoyo decisivo."
La misión, que estará compuesta por un millar de efectivos –unos centenares en Kinshasa y la mayoría en el exterior listos para su despliegue en caso de necesidad– se llevará a cabo a petición de la ONU, que pidió apoyo para su misión de observación (MONUC) en la RDC.
Casi cuatro millones de víctimas
La República Democrática del Congo sufrió una cruenta guerra civil entre 1998 y 2003, que se cobró casi cuatro millones de vidas y la MONUC, que cuenta con 17.000 efectivos en el país, teme un rebrote de violencia durante los comicios.
Solana explicó hoy que la UE ha apoyado a la RDC en todo el proceso de transición que comenzó en 2003 y quiere que las primeras elecciones democráticas en ese país desde que obtuvo su independencia de Bélgica en 1960 "sean un éxito".
La misión, cuyo cometido es reforzar a las Naciones Unidas durante el proceso electoral, deberá todavía ser aprobada por el Bundestag (Parlamento alemán).
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KINSHASA, 10 juin 2006 (AFP) - L'Afrique du Sud, chargée de l'impression des bulletins de vote pour les élections du 30 juillet en République démocratique du Congo, a livré samedi à Kinshasa un premier lot de 42 tonnes de bulletins, a-t-on appris auprès de la Commission électorale indépendante de RDC.
Ces bulletins, pour le premier tour de la présidentielle et les législatives (un seul tour), sont destinés à la province du Kasaï (centre de la RDC).
L'Afrique du Sud devra effectuer au total 75 vols pour livrer 1.800 tonnes de bulletins pour ces scrutins, censés être les premières élections libres et pluralistes en plus de 40 ans dans l'ex-Zaïre.
"Il n'y a plus de doute: les élections auront bien lieu le 30 juillet 2006", a déclaré à la presse le président de la CEI congolaise, l'abbé Apollinaire Malu Malu.
L'abbé Malu Malu a par ailleurs assuré qu'il annoncerait à la fin du mois de juin la suite du calendrier électoral, qui doit fixer la date du second tour de la présidentielle et de l'élection des députés provinciaux (qui doivent élire les gouverneurs de province et les sénateurs).
Trente-trois candidats ont été enregistrés pour la présidentielle et 9.632 pour les législatives (500 postes à pourvoir).
Au total, 11 scrutins sont prévus en 2006 en RDC et doivent mettre un terme à une fragile transition politique initiée en 2003 après une guerre régionale de près de cinq ans sur le sol congolais.
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