Hola a todos:
dejemos por un momento de lado la capacidad de las catapultas edl A-12 para poner en vuelo a los RAfale-M, por que como entendereís en este momento es como discutir sobre el sexo de los ángeles.
Para que la Marinha cuente con éste, u otro caza embarcado, en primer lugar debe iniciar el proceso de selección, que hasta el momento y según tengo entendido no existe de forma oficial. Es cierto que algunos medios muestran el interés del almirantazgo y de la industria brasileña por el Rafale. Pero me hace recordar el proceso que derivó en España en la adquisición del Tigre... los mandos querían el Apache.
Una vez iniciado el proceso, es decir la orden ministerial o equivalente en el ordenamiento legal brasileño, empieza una serie de ofertas y contraofertas, así como vuelos de presentación y evaluaciones, hasta llegar a la toma de la decisión. Esto lleva un tiempo, y las experiencias en todo el planeta conducen a que éste no es menor a un año, so pena que el pliego de condiciones de presentación de ofertas esté redactado a la medida de un producto en aprticular.
Una vez firmado el acuerdo de adquisición, que de nuevo se demora por los últimos flecos como los de transferencia industrial y afines, debe iniciarse la construcción de los apratos adquiridos. Y es en este punto el que deseo mostrar una nota oficila del Senado de Francia:
B. FRAPPER À DISTANCE
1. Le programme Rafale : une polyvalence renforcée en 2008
A la date d'aujourd'hui, 120 Rafale ont été commandés (82 pour l'armée de l'air et 38 pour la marine), sur une cible totale ramenée de 294 à 286 appareils (cible de 234 ramenée à 228 pour l'armée de l'air et cible de 60, ramenée à 58 pour la marine).
Le projet de budget prévoit la commande en 2009 de 60 Rafale supplémentaires (51 pour l'armée de l'air, 9 pour la marine), ce qui portera à 180 le nombre total d'appareils commandés depuis le lancement du programme.
68 avions ont été livrés (42 pour l'armée de l'air, 26 pour la marine). Les livraisons prévues en 2009 portent sur 14 appareils, (12 pour l'armée de l'air et 2 pour la marine) ce qui devrait porter à 82 le nombre total de Rafale livrés fin 2009.
Le coût total du programme pour l'Etat est de 39,6 milliards d'euros, (conditions financières au 1er janvier 2008) ce qui ramène le coût unitaire par avion (hors développement) entre 64 et 70 millions d'euros en fonction des versions, cette valeur devant toutefois augmenter du fait des négociations en cours avec l'industriel résultant de la réduction de la cible initiale.
Sur le plan financier, le projet de budget prévoit 4 709,2 millions d'euros d'autorisations d'engagement supplémentaires en 2009, ainsi que 1 514,7 millions d'euros de crédits de paiement.
Le décalage des commandes initiales a entraîné l'allongement de la durée de la phase de développement, et donc son coût, mais le recours à la procédure des commandes globale a permis de réduire celui de l'industrialisation et de la production.
Au total, le ministère de la défense estime qu'à conditions financières égales (CF 2007), le devis global du programme Rafale n'a progressé que de 4,45 % entre 1996 et 2007, alors même que le périmètre du programme s'est élargi par l'adjonction de nouvelles capacités techniques et la prise en compte sur une plus longue durée des travaux de traitement des obsolescences et d'industrialisation.
Au printemps 2007, le Rafale a été engagé avec succès sur le théâtre d'opérations afghan, à la fois par l'armée de l'air et par la marine nationale, ainsi que dans le cadre de la mission Héraclès Air Indien (HAI). Déployés sur le terrain de Douchambé entre le 12 mars 2007 et le 30 juin 2007 pour l'armée de l'air et du 7 mars au 18 avril 2007 à bord du « Charles de Gaulle » pour la marine, les six avions (trois et trois) ont effectué 171 missions de combat, honorant 100 % des vols programmés sur le théâtre d'opérations, et ont délivré sept bombes guidées laser. Entre février et début juin 2008, des Rafale au standard F2 de l'armée de l'air ont été déployés à Kandahar. Cette campagne a notamment permis de tirer l'armement AASM (version décamétrique) en conditions opérationnelles. A l'occasion de ces engagements opérationnels le comportement en vol et la disponibilité technique du Rafale ont été remarquables.
A la lumière de ce retour d'expérience, des travaux d'acquisition des capacités manquantes ont été lancés dès le second semestre 2007. Ils concernent notamment le pod Damoclès qui devrait être mis en service fin 2009, la capacité IDM (improved data modem) qui devrait être acquise mi-2009. L'expérience acquise en Afghanistan montre également toute la plus-value des armes de précision à guidage dual (laser + GPS) qui permettent de tirer sur des objectifs sans en avoir acquis le visuel au préalable et ce quelles que soient les conditions météorologiques. L'intégration de cette capacité est souhaitable au plus vite.
http://www.senat.fr/rap/a08-102-5/a08-102-516.html
Es decir, que la producción es un tanto lenta, cuestiones de presupuesto supongo, como veís
2 nuevos Rafale-M para la Marine Nationale en 2009.
El primer párrafo indica que se han solicitado hasta el momento 180 aparatos, de éstos, 38 para la Marine Nationale, que de acuerdo con la nota cuenta en estos momentos con 26, a la espera de los 2 fabricados en 2009 a cargo de presupuestos anteriores.
Tal vez alguna mente en Brasil piense que el Rafale vendrá como los Mirage 2000 que sustituyeron a los M-III, en prestamo y sacados directamente de los hangares del Armée de l'Air. Dificilmente la Marine Nationale se desharía de 12 ó 15 aparatos para la Marinha, estaría cediendo el 50% de su fuerza actual y presupuestada.
Por tanto, el Rafale-MBr debería ser fabricado, y es de suponer que a un ritmo similar al de la MN, 2 aparatos por año.
Para 12 aparatos se tardaría 6 años en el proceso industrial.
6 años a sumar a los previos a la construcción de los aparatos, sin olvidarnoes en transformar a los pilotos de los "scooters" o A-4 al nuevo aparato. Total no menos de 8 años a partir de hoy...
¿Estará el A-12 en condiciones en 2017?
Repito que es una conjetura basada en la no existencia en este momento del programa de adquisición... y puedo estar equivocado. Y hablo de oficialidad del programa, no de oficiosidad... y en adquisiciones de material militar, la experiencia nos indica que los deseos son muchos y las realidades mechas menos.
Y sin entrar al trapo sobre las catapultas, por que entonces la pregunta sería ¿vale la pena un caza embarcado con apenas misiles IR? ¿con qué carga de combustible? y una pregunta que no podemos obviar ¿por qué la Marine Nationale prefería el F-18 al producto propio?
Saludos.